Onk-Onk on Ulule !

Des projets participatifs, il y en a, des caisses. Nous vous parlons pas de tout, loin s'en faut. Mais de temps à autre, nous aimons attirer votre attention sur l'un d'eux, parce qu'il a l'air sympa. Récemment, c'était Dungeon Roll et c'était en anglais. Aujourd'hui c'est le tour d'un petit jeu frenchie d'avoir droit à son coup de projo. Après Rimtik et Gobb'it, les OldChaps vous annoncent la venue prochaine de OnkOnk !

Onk Onk, voilà un drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? Parce que. D'abord, on parle d'otarie. Et c'est bien. Parce que les otaries, dans le monde du jeu, sont un peu des laissées pour compte. Alors qu'elles sont très joueuses, les otaries. Alors hein, elles méritent bien d'avoir leu jeu. Oui. Et puis c'est le mammifère qui est capable de rattraper un homme à la course sans O.P.O... et de plonger à 100 mètres de profondeur pour se nourrir de poulpes et de poissons. Joueuse, sportive, brillante, gourmande et sexy, l'otarie. Qui l'eut cru.

"OnkOnk est un jeu de société qui met en scène des otaries inconscientes dont le passe-temps favori consiste à se passer des poissons-bombes. Lorsqu'un de ces poissons explose au museau d'une otarie, ses congénères se tordent de rire à en faire trembler la banquise."

On apprend aussi que le jeu est composé de 48 cartes qui ne possèdent que des illustrations, qu'il est "rapide à appréhender et les parties ne durent que quelques minutes."​

Un jeu d'observation et de rythme, plein d'otaries un peu cinglées qui s'envoient des poissons explosifs dans une compétition sans merci : les otariades !

Si vous vous promenez sur Ulule, le site de financement participatif français, vous verrez tout sur l'avancée du projet : l'affinement des règles du jeu, les dessins du proto, le matoss à l'heure actuelle mais aussi des vidéos de partie, et bien sûr, toutes les infos relatives à votre participation -dès 5 euros- ! Toutes les aides sont bienvenues sachant que le projet ne sera financé que si au moins 5 000 € sont collectés avant le 9 mai 2013...

Bonne chance à eux !

Et longue vie aux otaries !

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