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Description

Stonehenge est un jeu de stratégie finalement très abstrait, malgré le thème des druides et du fameux site archéologique.

Le plateau de jeu représente des lignes de diverses longueurs se croisant.

A chaque croisement, chaque joueur, à son tour, peut poser un de ses pions numérotés de 1 à 6.

Il y a deux 1,2 et 3, et un seul 4,5,6.

Quand une ligne est remplie, le joueur qui possède les pions les plus forts gagne la maîtrise de celle-ci.

Il pose un pion Menhir au bout pour le symboliser.

S'il est impossible de prendre l'ascendant sur une ligne, car les pions qui vous restent ne sont plus assez fort, vous devez concéder celle-ci.

Le joueur qui, le premier, pose son dernier pion Menhir remporte la victoire.

Rédigé par : Docteur Mops via Trictrac.net

Spécifications


Nombre de joueurs
à 2 joueurs exclusivement
Âge
à partir de 10 ans
Durée
15 minutes
Mécanismes
Conquêtes, Placement
Thèmes
Abstrait, Antiquité
Date de sortie
1 janv. 1994
Auteur(s)
Reiner Knizia
Illustrateur(s)
Torsten Schöps, Peter Goodfellow
Editeur(s)
Blatz

Contenu de la boite



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Un duel magique sans concession

| 18 mai 2017 | Ryleh
Oubliez le thème, complètement plaqué de façon artificiel sur une mécanique épurée, et qui exclue le hasard pour privilégier la réflexion pure. On a les mêmes pièces, le même objectif et tout se fait face à face : pas de secrets, d'ambiance, non le pur plaisir du jeu de pose jouable en quelques minutes. On enchaîne les parties avec plaisir pour contrer la stratégie que vient d'inventer votre adversaire. On se reprend une deuxième puis une troisième branlée avant de la comprendre, et de commencer à gagner. Et on en redemande. Je dois reconnaître par contre que le jeu a vieilli pour son matériel et sa présentation. Plus personne n'oserait sortir une "horreur" pareille maintenant. Mais c'est bien son seul défaut...
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Schotn totten sauce cérébrale.

| 18 mai 2017 | limp
Le même avec des pions numérotés visibles par les deux joueurs et plus de "lignes" à gérer. On perd du fun, de ce petit hasard si important, du stress d'attrapper la bonne carte avant l'autre... On gagne de la stratégie, de cette belle réflexion de plusieurs minutes qui prouve que vous savourez le jeu. Bref, réinventant une mécanique bien huilée -enfin, c'est peut être lui le premier de la série !-avec Schotten Totten, Tabula Rasa et un peu plus loin, les cités perdues, Knizia nous prouve que chaque jeu, sortant d'un même moule est bien différebt et tout aussi prenant... au point de pouvoir avoir tous ces jeux dans sa ludo sans parler pour autant de doublons...
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