Avalon Hill

Présentation

Avalon Hill était un éditeur de jeux de société. Cette société se spécialisait dans les jeux de guerre et les jeux de stratégie sur plateau. Elle a aussi publié à l’occasion des livrets de règles pour des micro jeux de guerre et proposait aussi une gamme populaire de simulations sportives. Elle est aujourd'hui une division de la société Wizards of the Coast, elle-même devenue une division de la société Hasbro. Source Wikipédia

Specifications


Editeur
33 Jeux
Site web
http://www.wizards.com/avalonhill/

Avis

Hannibal : Rome contre Carthage

Quel duel....oserais je dire mythique ?.... Oui

| 14 avr. 2018 | william150574

Pour ma première partie j'ai été bluffé. J'avais peur d'avoir du mal à l'appréhender mais finalement non. Certes il faut avoir une certaine habitude de gros jeux mais personnellement je n'avais vraiment joué à un "wargame"....et bien c'est fait et j'ai été conquis. De plus des scénarios qui permettent de progressivement s'approprier les règles.... Avant d'attaquer le verso du magnifique plateau : Hamilcar. Le jeu est fluide, le matériel magnifique à la hauteur du mythe " Rome Carthage". De plus les éléments de jeux permettent de renouveler énormément les parties et le système de résolution des combats est tout simplement génial : bluff, stress, stratégie, choix cornélien.... Tout y est....n' hésitez pas....jouez y

Betrayal at House on the Hill

Resident Evil en jeu de plateau

| 18 mai 2017 | Flemeth
- j'adore les jeux immersifs avec de l'ambiance à la Scooby-Doo - j'adore les jeux de tuiles, de pions et de dés - j'adore les jeux asymétriques, plein de fun et de délire - j'adore me battre contre des araignées, des zombies et des hommes sans tête - j'adore les jeux à scenarii multiples qui présentent une grande rejouabilité J'adore Betrayal at house on the hill !

Acquire

tout n'est comme le vin

| 18 mai 2017 | popol
J'aime bien découvrir les anciens jeux de mon asso, cuex qui ne sortent pas vu le déferlement de nouveautés. Là j'aurais pu éviter. Le plateau de jeu est illisible et les conditions de fin sont très surprenantes. Personne n'a aimé et moi je me suis en plus ennuyé ferme. Pour ceux qui souhaite l'acquérir à essayer avant.

Roborally

A droite ! Non, l’autre droite !

| 18 mai 2017 | Meeeuuhhh
Type de jeu : Où les robots savent trépasser dignement, opérant de superbes demi-tour avant de sortir de scène sur leur tapis roulant. Nombre de parties jouées : 4 Avis compendieux : C’est le genre de jeu que je n’aurai sans doute jamais acheté et dont je me félicite qu’on me l’ait offert (même si cela m’a rempli de confusion et que mon oursitude n’en a que plus transparu). C’est un jeu rigolo. On n’y joue pas pour prouver qu’on est le plus intelligent de la terre, non, même si les robots qui y sont impliqués sont sensés trouver que les échecs, c’est trop simple pour eux (quand on voit les ordres simples qu’ils peuvent effectuer, on se demande comment ils jouent aux échecs quand même). Et c’est très efficace. Une partie effectuée à huit a remporté, je le crois, l’assentiment de tous et a suscité gaieté et bonne humeur (tout comme les parties jouées à moins d’ailleurs, on me reparle souvent de mon robot qui a eu le talent et la dignité de se retourner sur son tapis roulant pour saluer une dernière fois le public avant de sortir de scène). Et c’est bien ce pourquoi est fait ce jeu. Par contre, les parties peuvent être longues, surtout à huit ou pourtant nous avions utilisé un plateau simple. Les parties sont très chaotiques aussi. Non, vraiment, ne jouez pas à ce jeu pour prouver que vous êtes le plus intelligent de la terre. Vous perdriez votre temps (et surtout feriez perdre celui des autres). Clarté des règles (4) : Les règles en soit sont claires et plutôt simples, mais attention, pour un jeu assez grand public et appartenant très clairement à la catégorie des jeux rigolo et pour un peu d’ambiance (si si), elles sont relativement longues à expliquer, surtout quand il y en a qui commencent à ricaner au fond de la classe justement peut-être parce qu’ils trouvent le temps d’explication long. Qualité du matériel (4) : Le reproche essentiel que j’aurai à faire est que les robots sont assez difficiles à distinguer. A trois ou quatre, on en trouve qui sont assez différents, mais à huit, on se retrouve forcément avec tous les robots à forme compacte sur le plateau, et ce sont le début des soucis. Leur orientation n’est pas non plus évidente à voir de loin (huit personnes autour d’une table, ça prend de la place). Enfin, les aides de jeu sont fines diront certains, mais en fait, et alors pourrions-nous rétorquer. Il faut poser des cartes à cheval sur icelles, il est donc plus pratique qu’elles soient fines. Sinon tout va bien. Ah, si, un truc, sur les drapeaux, on peut mettre un autocollant des deux côtés : c’est une mauvaise idée, le chiffre devient dur à lire (comme l’endroit et l’envers se superposent). Reflet du thème (3) : Non mais excusez-moi, mais des robots pour qui les échecs sont lassants et qui n’arrivent pas à aller tout droit alors qu’il doivent atteindre un drapeau qui est juste en face d’eux, et qui tournent en rond comme des fous (même s’ils ne sont pas abîmés) hein, non, ça ne fait pas très crédible. Et puis je veux bien croire que les robots s’ennuient et qu’ils veuillent occuper leurs nuits en s’amusant, mais à moins que les 35 heures ne les concernent aussi, les robots, ça peut travailler tout le temps. Même en 2052 ou je ne sais combien. Boudu, j’aurai 74 ans, en 2052. Eh ben. Enfin bon bref. En outre, certains ont émis des doutes quant au fait que les robots ne dorment pas la nuit. Je ne savais trop que répondre, étant donné que mon honnêteté intellectuelle et mon intégrité quasi cicéronienne m’interdisent d’accepter comme acquis un phénomène que je n’ai oncques observé. Si les robots avaient le bon goût de dormir la nuit, ils se prendraient à n’en pas douter un peu moins de coups de rayon laser dans les dents. Quant à accepter de croire qu’un robot, voyant sa fin prochaine, aurait l’idée de faire un demi-tour pour saluer son public comme un grand artiste, je n’y puis croire. Les robots n’ont pas l’âme d’artistes. D’ailleurs ils n’ont pas d’âmes. Même en 2052 ou je ne sais plus combien, lorsque j’aurai 74 ans ou je ne sais plus combien, si Dieu me prête vie comme de bien entendu. Avis comportant ratiocinations et autres superfétations : Sachez donc que Titan X90, sous ses dehors de brute épaisse mal dégrossie, est un tendre. Il a une âme on ne peut plus sensible. Non, ne croyez pas les imbéciles qui osent prétendre que les robots n’ont pas d’âme. Titan X90 en a une, lui, et il a même un cœurs gros comme ça (comme ça, vous voyez ? Non ? Bon, tant pis). Sous sa dure carapace, se cache donc un cœur sensible, une âme pure, une âme d’artiste. Ecoutez donc le récit de sa triste fin. Alors qu’il s’était battu comme un lion tout au long de la partie (alors même que ces jeux brutaux lui soulèvent le cœur, qu’il a sensible, donc, et qu’il ne s’y prête que pour complaire à ses comparses), s’escrimant à remonter les tapis roulants, offrant son poitrail généreux à tous les rayons lasers pour préserver la vie de ses amis (ah, la grande âme, ah, la générosité même de cet être exquis ; oui, c’est idiot, mais c’est beau, comme souvent ce qui est idiot), défendant même la veuve et l’orphelin qui traînaient dans le coin, fonçant au péril de ses circuits à travers la jungle hostile de l’usine, tournant comme un fou dans les tourniquets (cela lui rappelait son enfance heureuse, avant l’usine), n’hésitant pas à reculer pour faire rire tous ses petits camarades qui pensaient qu’il allait avancer, se prêtant bien volontiers au petit jeu de je te pousse dans le puits, oups, disparu, toujours pour amuser ses amis, voilà notre vaillant robot, truffé d’une volée de coups de rayon laser, la moitié de ses circuits verrouillés, qui s’apprête à partir à l’assaut du prochain drapeau. Et là, las, que ne voit-il pas ? Les ordres qu’il lui est possible de s’attribuer ne lui permettent absolument pas de faire quoique ce soit de bon, il a une idée de génie, propre au plus grands artistes, à ceux qui sont dignes de mourir sur scène : il va se hisser, à bout de force, sur un tapis roulant, et las, grâce à ses programmes verrouillés qu’il avait anticipés le tour précédent avec la fulgurance de son esprit visionnaire, effectuera un demi-tour alors que le tapis roulant l’emportera vers son funeste destin. Ce qu’il prévit s’accomplit, et la foule des robots continuant à s’étriper, à cette vision, ne put s’empêcher de suspendre leurs mouvements, la gorge nouée par l’émotion, la larme à la durite, sentant que cet instant fugace resterait à jamais imprimé dans leurs circuits mémoriels comme celui où le plus grand d’entre eux aurait disparu de la plus belle des manières. Certains racontent, mais, est-ce la légende qui déjà se répand dans toute l’usine ? certains racontent, disais-je, qu’au moment de disparaître dans les coulisses obscures de l’usine, dans ce Schéol robotique, il aurait esquissé, malgré toutes ses blessures, un geste de la main avec un sourire semblant dire : « Je vous pardonne tout le mal que vous me fîtes ». Bon, le plus tristes, c’est que devant tant de grâce et de beauté d’âme, certains esprits forts ricanent. Mais que voulez-vous y faire.