Nicolas Fructus

France

Présentation

Diplômé de l'École Émile Cohl de Lyon (1991), il réalise des couvertures entre autres pour le Livre de Poche et la collection "Notre Temps" des Éditions Fleurus-Mame. Il poursuit d'ailleurs encore cette activité d'illustrateur, en livrant par exemple des << unes >> à la revue de science-fiction Bifrost. 1994-1995 : Fructus oeuvre pour le dessin animé. Chez Marina Productions, il travaille sur Dog Tracer (posing, lay-out, storyboard...) ; pour France Animation, il assure le story-board et conçoit les décors d'Ivanhoé. 1996-2000 : Il se tourne vers le jeu vidéo. Nommé directeur artistique de la société Arxel Tribe, il est amené à collaborer avec des dessinateurs comme Moebius (sur Pilgrim) et Philippe Druillet (sur Ring). Il définit également la charte graphique de jeux comme Faust, Louvre, Pompei et Casnova. Mais il n'abandonne pas pour autant le dessin animé, puisqu'il << story-boarde >> Wheel Squad pour France Animation. 2001 : Sa maîtrise de l'infographie marque son premier album : Le Fou sans nom, qui ouvre Thorinth, une série dont il assure aussi le scénario. Son utilisation très personnelle de l'outil informatique (une mise en couleur << opaque >> de ses crayonnés scannés) lui permet en effet de suggérer des ambiances dont on jurerait... qu'elles ne peuvent sortir d'un ordinateur ! Dans un autre genre, signalons aussi que Nicolas Fructus a co-réalisé les couleurs du Bouncer de François Boucq. 2002 : En parallèle de "Thorinth" débute avec Luc Besson l'aventure "Arthur et les Minimoys", aventure qui durera près de trois ans. Depuis 2005, Nicolas Fructus essaie de combiner plaisir et gros oeuvre en réalisant des illustrations fantastiques (aux Editions du Bélial), de nombreuses collaborations avec l'éditeur de jeux et de figurines Rackam,("La cité franche de Cadwallon", "AT 43"..) et la bande dessinée. Il a également fait de nombreuses illustrations de jeux de société : The Adventurers, Arcana, Nostra City , Pocket Rockets, Asteroyds...

Specifications


Illustrateur
28 Jeux
Zone géographique
France
Site web
http://web.mac.com/fructusland/SITE_OFFICIEL_FRUCTUS/SITE_OFFICIEL_FRUCTUS_bienvenue.html

Avis

Kemet

L'Egypte en mode HardCore !

| 18 mai 2017 | Lonnidas
Kemet est une vrai bombe ludique de baston et de plaisir pur ! Le jeu n'est pas conçus pour se torturer les méninges et penser la stratégie sur le long terme. Il est conçus pour le plaisir immédiat, l'adrénaline et la puissance ! Alliant gestion, placement, pouvoir et combo, Kemet est un bon mélange permettant de passer un bon autour d'une baston générale avec un peu de diplomatie, de la tactique et des rebondissement. Si vous aimez le genre, n'hésitez pas !

Takenoko: Chibis

Quand Miss Panda reorganise la bambouseraie

| 18 mai 2017 | Bubulle13
Miss Panda perturbe comme il faut la vie tranquille de Mr Panda... exit les joueurs qui jouent de la même façon d'une partie sur l'autre, la cabane du jardinier compense le côté aléatoire du tirage d'objectifs... Jouer avec l'extension apporte une bouffée d'air frais dans la bambouseraie, j'aurai du mal à ne jouer qu'avec la version de base maintenant :)

Takenoko: Chibis

Occupe-toi des gosses. Moi, je bouffe...

| 18 mai 2017 | limp
Takeno: Chibis est une bien jolie extension. Déjà, son matos rentre dans la boite de base (et ne prend donc pas plus de place sur nos étagères). Ensuite, elle rend le jeu un peu plus tactique sans le complexifier beaucoup. En effet, nous allons davantage faire attention aux emplacements des différents protagonistes à la fin de notre tour, histoire de ne pas rentre accessible la cabane au jardinier, ou à ne pas faciliter une naissance panda aux autres joueurs. De fait, pouvoir déplacer les deux pandas lors d'un même tour devient sympa, et une face du dé météo, qui était plus faible que les autres, s'en retrouve renforcée. Et si avant manger du bambou était chose facile, ça l'est moins maintenant, vu qu'enfanter demande des forces à monsieur et qu'il lui faut avoir le ventre rempli (et consommer une partie de ce que qu'il a digéré) pour y parvenir. Et comme il faut plus de bambou avec tout ça, la plupart des nouvelles tuiles rendent plus aisé sa pousse.Tout ça probablement pour équilibrer le tout. Mais les cartes "paysages" seront bien souvent les plus faciles à scorer sans rien faire. Si certes une variante est proposée pour palier à ça, voici les deux variantes maison que je recommande à ceux qui n'apprécie pas ce hasard (moi, ça va, mes pas tous mes amis joueurs). Vous pouvez jouer l'une ou l'autre, ou les deux, à votre convenance : - Toute carte paysage ou bambou piochée et déjà réalisée sur le terrain de jeu se pose devant le joueur face cachée. Elle ne compte que pour un point de victoire. - Vous ne pouvez pas poser une carte d'un type si vous en avez déjà en jeu plus de ce type que des autres. Voilà ! Bon jeu à tous !

Kemet

Le retour de la momie qui pue qui tue

| 18 mai 2017 | Ryleh
C'est un jeu d'affrontement finalement assez classique. On monte ses armées, on achète des pouvoirs, on invoque des créatures pour s'épauler, on part occuper des temples pour gagner des points de victoire et de prière pour avoir encore plus de pouvoirs. Rien de vraiment nouveau, mais un beau jeu plutôt bien conçu. En plus, le Matagot nous gâte une nouvelle fois avec un matériel vraiment splendide. J'ai bien aimé le principe des points de victoire temporaire, un petit plus qui permet de relancer les parties, et de ne pas garantir la victoire jusqu'au bout. A réserver toutefois aux afficionados des jeux de combat, moi je risque de me lasser rapidement...