Théo Rivière

Présentation

Specifications


Auteur
13 Jeux

Avis

La maison des souris

Joli mais injouable

| 21 janv. 2023 | Dominiquelina

La présentation est vraiment belle et donne envie de jouer. Mais quand il s'agit de jouer c'est la déception la plus totale. La lampe est trop faible pour éclairer les objets. Le dessin des objets présente des reflets, on ne voit que la tranche des jetons objets, les fenêtres sont trop petites et laissent de nombreux angles morts, les objets ne peuvent tomber que dans deux pièces. Bref pas du tout au point. On a beau insister en se disant qu'il faut faire preuve de bonne volonté, rien n'y fait. N'achetez pas ce jeu tant que les problèmes n'ont pas été règlés. 

 

La maison des souris

Vraiment cool

| 16 juin 2021 | PaulineLeroux

Un superbe jeu !

Jeu de mémoire pour enfants mais même pour les plus grands j'ai envie de dire.

Le matériel aussi est génial.

Pour moi si j'avais voté, il méritait le titre de l'année dans la catégorie enfant avec juste derrière en 2eme dragomino.

En bref un jeu juste Génial !

 

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Shinobi Wat-AAH!

What's Bruce Lee's favourite drink ? Wat-aah !

| 18 mai 2017 | Wraith75
Le thème en deux mots : Une brèche vers les Enfers s’est ouverte et l’Empereur du Japon fait appel aux valeureux clans de ninjas (shinobi) pour lutter contre les démons s’en échappant. Bon, attention, on est dans du jeu de cartes léger, on ne ressent pas du tout la même chose que dans un Ghost Stories par exemple. Question matos, un petit plateau coloré, et un tas de cartes, format allongé et fin, avec de superbes illustrations de Naïade, dont je suis super fan, et qui a encore ici fait de l’excellent travail. Ça donne vraiment tout son cachet au jeu. Ça se joue soit en une manche (mode « petit scarabée »), que je vous déconseille fortement, c’est très court et aussi frustrant qu’un Archipelago en partie courte, soit en trois manches avec combat final et « mini-placement d’ouvriers » sur un plateau central (mode « grand maître »). Chacun commence avec huit cartes en main. Celles-ci représentent des ninjas de différents clans et de force différente (le chiffre sur la carte). Les phases de jeu : 1. Piocher : • soit uniquement la première carte de la pioche • soit « se corrompre » et piocher x+2 cartes, où x est la valeur de la première carte. Cette carte sera alors posée face cachée devant soi et sa valeur sera décomptée de son score final 2. Jouer des cartes : • déposer devant soi entre 2 et 4 cartes d’un même clan. On applique alors le pouvoir du clan, qui a deux niveaux de puissance selon qu’on ait posé deux ou trois cartes en même temps. Les pouvoirs vont de faire défausser des cartes à un adversaire à piocher de nouvelles cartes, en passant par détruire un clan adverse ou récupérer des cartes dans le Jigoku (les Enfers = la défausse). Les rônins ont une valeur de 1 et servent de jokers • compléter un clan, soit en rajoutant deux cartes sur deux cartes déjà posées (maximum 4 cartes par clan joué), soit en y rajoutant un yokai, carte unique et puissante reprenant à elle seule un des pouvoirs de niveau 3 d’un clan 3. Défausse obligatoire d’une carte La manche se termine au moment où l’un des joueurs pose son quatrième clan. Celui-ci n’a pas gagné pour autant, il a intérêt à s’être assuré que la valeur totale de ses clans est la plus élevée. Ensuite, chacun gagne des « pions ninja » selon son classement, représentés par de mignons petits shurikens en bois (« shuriples » ?). Chacun à son tour peut alors les poser sur le plateau central. Au centre de celui-ci se trouve, face cachée, le boss. Il y en a 5 dans le jeu, et le but est de deviner lequel, car leurs effets et les points de victoire qu’ils rapportent sont très différents, les malus peuvent même être salés. Sur le plateau, on peut consulter à trois emplacements différents, trois des boss non-utilisés. Le dernier reste dans la boîte pour ménager le suspense final. On peut également acheter des cartes actions jouables pendant les manches. Et le dernier joueur, afin qu’il ne soit pas pénalisé, reçoit une carte exclusive bénéfique. Par exemple, il ne devra plus défausser de carte à la fin de son tour. Comme c’est un jeu à vocation familiale, c’est bien d’avoir prévu cela pour jouer avec de plus jeunes par exemple (ou de mauvais perdants =) ). Les placements sur certaines zones du plateau rapportent également des points de victoire, et on peut également se placer directement sur le boss, de préférence en connaissance de cause, car certains boss octroient le maximum de points de victoire si on ne les attaque qu’avec un seul shuriken par exemple. A la fin des trois manches, on totalise donc les PV du plateau et on résout le boss. Après cela, on déduit enfin les PV de corruption. Hé bien, j’ai passé un bon moment. Je trouve que le jeu est tout à fait jouable en famille comme entre geeks. Enfin, principalement ceux qui n’ont pas peur de dire qu’ils aiment King of Tokyo. Ça reste simple, mais c’est extrêmement fun. Et bonne idée d’avoir rajouté cette phase de plateau entre les manches et le fait de deviner le boss, sinon le jeu n’aurait clairement pas le même attrait. En festival, je sais que, question de temps, ils ne présentaient que le jeu en une manche, sans plateau donc. J’espère que cela a quand même convaincu assez de personnes de s’intéresser à ce chouette jeu. Une belle réussite de Théo Rivière, pour je crois son premier jeu. Vous pouvez retrouver Théo dans la vidéo du vendredi de Iello sur Facebook, c’est lui qui les réalise, car il a la chance de travailler là-bas, le veinard ! A noter qu’il existe déjà une carte promo avec un yokai panda, a priori disponible uniquement dans les festivals. Avis aux collectionneurs !