The King Commands, chez Z-Man Games

Dans The King Commands, premier jeu édité d'un auteur suédois, prévu chez Z-Man Games pour ce mois-ci, les joueurs débutent la partie avec une main composée de 6 cartes.


Quand vient votre tour, vous piochez deux cartes. Puis, si vous le pouvez et le souhaitez, vous jouez une carte couronne ou une carte boule de cristal et faites l'action associée (Carte boule de cristal : au choix entre piocher 4 cartes, en prendre une de la défausse ou regarder la main d'un autre joueur. Couronne : au choix, vos adversaires défaussent tous deux des épées qu'ils ont en main ou un joueur doit vous donner deux de ses cartes, ou vous mettez la couronne dans votre pile de score pour gagner 3 points).

À moins que vous ayez joué une carte couronne, vous devrez combattre un autre chevalier en jouant des cartes épées, et ce dans le but de voler à votre adversaire une des 12 cartes "or" du jeu, donnant un nombre de points de victoire assez intéressant. Ce dernier peut tenter de bloquer l'attaque. Si vous réussissez, les épées utilisées et le sac d'or vont dans votre pile de score. Dans le cas contraire, vous vous serez affaibli pour rien et les boucliers de votre concurrent, qui aura bloqué l'attaque, iront dans sa pile de score...

Les différents types d'attaques sont :


- une épée : ne permet pas de voler de sac d'or.


- Deux épées, de couleurs différente (l'attaque est parée avec n'importe quelle carte bouclier)


- Trois épées de même couleur ! (l'attaque est parée avec deux boucliers de couleur similaire)


- Quatre épées : une de chaque couleur. Cette attaque ne peut être parée


- 5 épées, de même couleur. Cette attaque ne peut être parée, même par Excalibur...

Votre dernière action du tour consiste à vous défausser de cartes... pour en piocher plus : 1/2/3 épées font piocher 2/4/6 cartes, tandis qu'un bouclier vous récompense de 3 cartes et qu'une relique vous en octroie 5 !

La partie prend fin quand la pioche est épuisée et le joueur avec le plus de points remporte la partie.

Réagir à cet article

Il n'y a aucun commentaire