Si Ystari aime bien caser les lettres "y" et "s" dans ses titres de jeux, on pourrait penser que Pearl Games s'essaie au même exercice avec les lettres "T" et "y", comme en témoigne Tournay, leur prochain jeu.
Ce jeu de cartes fait donc suite à Troyes, dont nous vous avions proposé le Jedistest.
Comme on ne sait pour le moment que bien peu de choses sur ce jeu, nous allons nous hasarder à faire la comparaison avec son grand frère, Troyes.
Pour la partie commune, le jeu reprend le design, jusqu'à l'iconographie, de son prédécesseur. Vous retrouverez les trois mêmes types de couleurs de cartes et ce à quoi elles sont affiliées (rouge pour le militaire, blanc pour le clergé et jaune pour les marchands.
La thématique, ou du moins l'époque, reste elle aussi inchangée.
Mécaniquement, vous allez une nouvelle fois pouvoir acheter chez les autres joueurs... mais cette fois-ci, vous achèterez des cartes !
Si ce jeu propose lui aussi des cartes évènements, ces dernières pourront avoir des effets certes négatifs, mais elles pourront également en avoir de positifs.
Nous glissons donc, petit à petit vers les différences avec le premier né de l'éditeur. Tournay n'a pas de plateau de jeu (enfin si, mais bon, quand vous verrez, vous comprendrez qu'on ne peut pas réellement parler de "plateau de jeu", vu qu'on ne pose rien dessus). Il n'a pas de dés non plus. Ne restent que les cartes et nos amis les meeples.
Le système de pioche des cartes est à la fois simple et source de compromis car si vous pouvez refuser la carte piochée, vous la mettez alors au centre de la table face visible, permettant aux prochains piocheurs de la choisir si elle convient à leur jeu actuel...
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