Après m'être couché quelques heures, je reçois Kévin pour continuer la journée jeux (nous sommes donc le 2 Mai en fait)
Même s'il est parti plus tôt la veille, il avoue ne pas avoir bcp dormi.
Nous sortons donc 1960 auquel nous avions joué ensemble un an auparavant en VO.
La version française nous permettra de jouer plus rapidement et avec un confort supplémentaire.
On inverse les rôles ce coup-ci et Kévin jouera Nixon... qui l'emportera de nouveau.
De nouveau j'ai eu l'impression de en pas avoir de chance dans la pioche des cubes : quand le bleu (moi) l'emportait, aucun pion rouge ne le suivait. De plus je remporte surtout les initiatives et j'avoue ne pas avoir trouvé l'ordre de jeu très prépondérant (même si parfois jouer une carte qui fait mal d'entrée ou jouer sa dernière carte en sachant qu'elle ne pourra pas être contrée peut être sympa)
Le second tour m'est douloureux : je n'ai pas de marqueur momentum, Kévin en a deux et je possède 5 cartes sur 6 qui sont pour Nixon !
Je limite la casse en fatiguant Kennedy mais le tour est douloureux.
D'ailleurs je crois que c'est à ce moment là que je perds la capitale.
Je n'aurais les médias en ma faveur qu'un tour (ou deux ?) et ensuite Kévin dirigera les enjeux : je n'aurais jamais droit à la place de 1er enjeu de la partie.
Bref, je me sens mené mais reviens un peu à coup de légère combos.
Kévin remporte tous les débats de la phase 6 et vient souffler son vent dans une région de façon bien habile.
Je le vois venir, peux le contrer mais ne le fais pas : mauvais choix tactique.
La répercussion ne sera pas "trop" douloureuse.
Je reprends les 45pts de la capitale mais en cède 32 juste à côté.
Je ne décompte pas les majos dans trois états du sud suite à une vilaine carte adverse et perd la partie de façon moins nette que ce que je pensais.
Il ya donc du hasard dans le jeu, dans pleins de domaines.
Mais il est léger et contrôlable.
Je l'ai ressenti et le confirmerais au fil des parties.
Les bons choix ne sont pas évidents, tant on voudrait être partout (enjeux, publicité, plateau, soutien...)
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Après m'être couché quelques heures, je reçois Kévin pour continuer la journée jeux (nous sommes donc le 2 Mai en fait)
Même s'il est parti plus tôt la veille, il avoue ne pas avoir bcp dormi.
Nous sortons donc 1960 auquel nous avions joué ensemble un an auparavant en VO.
La version française nous permettra de jouer plus rapidement et avec un confort supplémentaire.
On inverse les rôles ce coup-ci et Kévin jouera Nixon... qui l'emportera de nouveau.
De nouveau j'ai eu l'impression de en pas avoir de chance dans la pioche des cubes : quand le bleu (moi) l'emportait, aucun pion rouge ne le suivait. De plus je remporte surtout les initiatives et j'avoue ne pas avoir trouvé l'ordre de jeu très prépondérant (même si parfois jouer une carte qui fait mal d'entrée ou jouer sa dernière carte en sachant qu'elle ne pourra pas être contrée peut être sympa)
Le second tour m'est douloureux : je n'ai pas de marqueur momentum, Kévin en a deux et je possède 5 cartes sur 6 qui sont pour Nixon !
Je limite la casse en fatiguant Kennedy mais le tour est douloureux.
D'ailleurs je crois que c'est à ce moment là que je perds la capitale.
Je n'aurais les médias en ma faveur qu'un tour (ou deux ?) et ensuite Kévin dirigera les enjeux : je n'aurais jamais droit à la place de 1er enjeu de la partie.
Bref, je me sens mené mais reviens un peu à coup de légère combos.
Kévin remporte tous les débats de la phase 6 et vient souffler son vent dans une région de façon bien habile.
Je le vois venir, peux le contrer mais ne le fais pas : mauvais choix tactique.
La répercussion ne sera pas "trop" douloureuse.
Je reprends les 45pts de la capitale mais en cède 32 juste à côté.
Je ne décompte pas les majos dans trois états du sud suite à une vilaine carte adverse et perd la partie de façon moins nette que ce que je pensais.
Il ya donc du hasard dans le jeu, dans pleins de domaines.
Mais il est léger et contrôlable.
Je l'ai ressenti et le confirmerais au fil des parties.
Les bons choix ne sont pas évidents, tant on voudrait être partout (enjeux, publicité, plateau, soutien...)
Bref, du bon.
On se fera la belle la prochaine fois surement.