Seconde partie de la soirée. Tout le monde en redemande, charmé par ce jeu très stratégique tout en étant rapide et efficace.
Cette fois-ci, tout le monde est prévenu au sujet des calamités, chacun voit mieux l'intérêt des ressources, en particulier de la population et du luxe. Ça va être chaud donc.
Effectivement , la bataille pour les tuiles rapportant de la population fait rage. Je tente la caserne pour m'affranchir de la contrainte sur les terrains mais il faut la payer de deux populations. Je me retrouve pauvre en argent et j'ai du mal à récupérer des tuiles population car mes adversaires les visent aussi. Grâce à une conquête, je m'octroie le premier bâtiment permettant de lutter contre la peste. Primordial vu mon retard de population. Le second est récupéré par Marco qui est celui qui a le plus de population. Néanmoins il ne produit pas assez de blé et c'est l'approvisionnement qui ramènera sa population proche de la notre. Dès lors le jeu s'équilibre. Je ramasse plein de bois pour avoir du luxe et je me protège du déclin par un bâtiment. Malheureusement, je suis obligé de consommer le luxe pour m'assurer plusieurs enchères, je suis vraiment trop juste en argent. Le déclin arrivant à l'avant-dernier tour fera mal à mes adversaires, il va les dépouiller de leur luxe et le tremblement de terre qui suivra au dernier tour finira d'épuiser leurs ressources en luxe, pierre et bois, les laissant exangues pour le ravitaillement. Quant à moi, c'est la sécheresse du dernier tour, juste avant le dernier ravitaillement qui me fera mal. Je n'aurais pas réussi à constituer suffisamment de réserve de blé pour résister à la fois à la sécheresse et à ce ravitaillement. Je comptais sur le luxe mais je l'avais dépensé pour les enchères. Même chose pour mes adversaires mais à cause du déclin et du tremblement de terre. Résultat nos populations sont décimées.
Au final, on se retrouve dans la même situation, en pire, que la première partie. Décidemment, on a eu du mal avec les calamités.
15, 15, 12 au score, je l'emporte au tie breaker grâce au tremblement de terre qui avait fait perdre deux bâtiments à mon adversaires.
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Seconde partie de la soirée. Tout le monde en redemande, charmé par ce jeu très stratégique tout en étant rapide et efficace.
Cette fois-ci, tout le monde est prévenu au sujet des calamités, chacun voit mieux l'intérêt des ressources, en particulier de la population et du luxe. Ça va être chaud donc.
Effectivement , la bataille pour les tuiles rapportant de la population fait rage. Je tente la caserne pour m'affranchir de la contrainte sur les terrains mais il faut la payer de deux populations. Je me retrouve pauvre en argent et j'ai du mal à récupérer des tuiles population car mes adversaires les visent aussi. Grâce à une conquête, je m'octroie le premier bâtiment permettant de lutter contre la peste. Primordial vu mon retard de population. Le second est récupéré par Marco qui est celui qui a le plus de population. Néanmoins il ne produit pas assez de blé et c'est l'approvisionnement qui ramènera sa population proche de la notre. Dès lors le jeu s'équilibre. Je ramasse plein de bois pour avoir du luxe et je me protège du déclin par un bâtiment. Malheureusement, je suis obligé de consommer le luxe pour m'assurer plusieurs enchères, je suis vraiment trop juste en argent. Le déclin arrivant à l'avant-dernier tour fera mal à mes adversaires, il va les dépouiller de leur luxe et le tremblement de terre qui suivra au dernier tour finira d'épuiser leurs ressources en luxe, pierre et bois, les laissant exangues pour le ravitaillement. Quant à moi, c'est la sécheresse du dernier tour, juste avant le dernier ravitaillement qui me fera mal. Je n'aurais pas réussi à constituer suffisamment de réserve de blé pour résister à la fois à la sécheresse et à ce ravitaillement. Je comptais sur le luxe mais je l'avais dépensé pour les enchères. Même chose pour mes adversaires mais à cause du déclin et du tremblement de terre. Résultat nos populations sont décimées.
Au final, on se retrouve dans la même situation, en pire, que la première partie. Décidemment, on a eu du mal avec les calamités.
15, 15, 12 au score, je l'emporte au tie breaker grâce au tremblement de terre qui avait fait perdre deux bâtiments à mon adversaires.