Nouvelle partie hier soir de Princes of the Renaissance….config 5 cette fois. Unkle, Luc et Thomas découvraient le jeu, Zhor entamait là sa seconde partie. J’explique les règles et l’Italie de la Renaissance s’offre à nous, personnages ambitieux et fourbes (c’est dingue comme le terme de fourbe vient naturellement à l’esprit quand on joue a ce jeu).
Bon, je vais pas en faire un récit précis, tant il s’est passé pas mal de choses (et puis je suis un peu fatigué ce matin), mais il faut noter que la partie fut un peu plus longue en raison de la config (un joueur de plus….mais aussi une guerre de plus).
Les joueurs vont avoir tendance à se jeter sur les tuiles militaires…3 joueurs vont se montrer plus gourmands que les autres sur ces tuiles : Thomas, Zhor et Luc. Unkle et moi avons été plus économes et nous nous sommes interessés assez rapidement aux tuiles politiques. Là encore, une des astuces du jeu a fonctionné à fond, à savoir que ceux qui avaient trois cités différentes n’ont pu empécher Zhor et surtout Thomas d’acheter des tuiles Rome à vil prix….pourtant, comme dans notre partie précédentes, Rome va tomber très bas….et puis remonter au point de finir première en fin de partie ! Et c’est d’ailleurs la clé de la victoire de Thomas, qui va marquer 30 points (!) rien qu’avec les tuiles romaines.
En ce qui me concerne, avec 4 tuiles commerçants en fin de partie (dont deux Venise qui vont me rapporter 14 points) , et la tuile événements qui donnent des points-victoire pour les commerçants (et deux artistes « points-victoire »), j’étais plutôt satisfait…mais sur le plan militaire, j’ai été Condottière (pour les sous) deux fois…sans gagner de combat. Luc non plus d’ailleurs ne fut pas un chef de guerre très efficace…même en ayant D’Este : pas une seule victoire ! il termine quand même en empochant les 6 points du plus riche (je fini second…grrrrr, avec 43 ors ! 3 points seulement pour moi) et les 4 points pour le nombre de points d’influence le plus important.
L’armada de Thomas était impressionnante, mais il trouva à qui parler avec Zhor…d’ailleurs, au décompte final , Zhor marque 15 points de lauriers, pour 10 à Thomas. La remontée de Rome se fit aussi au grand désespoir de Unkle qui compris rapidement que Thomas allait sans doute être le grand bénéficiaire de tout cela, avant même que ce dernier investisse encore plus en tuile de cette cité.
Après le décompte final, m’est avis que les scores sont quand même un brin sévères pour Luc et Unkle, car la partie semblait assez équilibrée, chacun ayant des arguments à faire valoir…c’est sans aucun doute l’accélération finale qui nous a fait le plus de mal.
Pour les impressions globales en fin de partie : Zhor apprécie toujours autant, mais il ne sais pas quoi faire pour gagner (peut-être en se déterminant un peu plus vite sur les tuiles politiques…ça aide mon cher, croyez-moi). Thomas, je sais pas. Unkle, je pense, c’est amusé, mais il se pose la question de la « maîtrise » globale du jeu…comme Luc je crois.
Enfin moi, j'adore le fun et l'incertitude qui règnent dans ce jeu : les tuiles trahison, les accords bien tordus, les possibilités avec les guerres, les enchères tendues, etc...
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Nouvelle partie hier soir de Princes of the Renaissance….config 5 cette fois. Unkle, Luc et Thomas découvraient le jeu, Zhor entamait là sa seconde partie. J’explique les règles et l’Italie de la Renaissance s’offre à nous, personnages ambitieux et fourbes (c’est dingue comme le terme de fourbe vient naturellement à l’esprit quand on joue a ce jeu).
Bon, je vais pas en faire un récit précis, tant il s’est passé pas mal de choses (et puis je suis un peu fatigué ce matin), mais il faut noter que la partie fut un peu plus longue en raison de la config (un joueur de plus….mais aussi une guerre de plus).
Les joueurs vont avoir tendance à se jeter sur les tuiles militaires…3 joueurs vont se montrer plus gourmands que les autres sur ces tuiles : Thomas, Zhor et Luc. Unkle et moi avons été plus économes et nous nous sommes interessés assez rapidement aux tuiles politiques. Là encore, une des astuces du jeu a fonctionné à fond, à savoir que ceux qui avaient trois cités différentes n’ont pu empécher Zhor et surtout Thomas d’acheter des tuiles Rome à vil prix….pourtant, comme dans notre partie précédentes, Rome va tomber très bas….et puis remonter au point de finir première en fin de partie ! Et c’est d’ailleurs la clé de la victoire de Thomas, qui va marquer 30 points (!) rien qu’avec les tuiles romaines.
En ce qui me concerne, avec 4 tuiles commerçants en fin de partie (dont deux Venise qui vont me rapporter 14 points) , et la tuile événements qui donnent des points-victoire pour les commerçants (et deux artistes « points-victoire »), j’étais plutôt satisfait…mais sur le plan militaire, j’ai été Condottière (pour les sous) deux fois…sans gagner de combat. Luc non plus d’ailleurs ne fut pas un chef de guerre très efficace…même en ayant D’Este : pas une seule victoire ! il termine quand même en empochant les 6 points du plus riche (je fini second…grrrrr, avec 43 ors ! 3 points seulement pour moi) et les 4 points pour le nombre de points d’influence le plus important.
L’armada de Thomas était impressionnante, mais il trouva à qui parler avec Zhor…d’ailleurs, au décompte final , Zhor marque 15 points de lauriers, pour 10 à Thomas. La remontée de Rome se fit aussi au grand désespoir de Unkle qui compris rapidement que Thomas allait sans doute être le grand bénéficiaire de tout cela, avant même que ce dernier investisse encore plus en tuile de cette cité.
Après le décompte final, m’est avis que les scores sont quand même un brin sévères pour Luc et Unkle, car la partie semblait assez équilibrée, chacun ayant des arguments à faire valoir…c’est sans aucun doute l’accélération finale qui nous a fait le plus de mal.
Pour les impressions globales en fin de partie : Zhor apprécie toujours autant, mais il ne sais pas quoi faire pour gagner (peut-être en se déterminant un peu plus vite sur les tuiles politiques…ça aide mon cher, croyez-moi). Thomas, je sais pas. Unkle, je pense, c’est amusé, mais il se pose la question de la « maîtrise » globale du jeu…comme Luc je crois.
Enfin moi, j'adore le fun et l'incertitude qui règnent dans ce jeu : les tuiles trahison, les accords bien tordus, les possibilités avec les guerres, les enchères tendues, etc...