Black fleet

Black fleet

6.9/10

Pirates, marchands, et capitaines de la Marine cherchent la gloire et la fortune sur les mers des...

  • 3 à 4 joueurs
  • à partir de 14 ans
  • 60 minutes
  • Sortie : sept. 2014
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lâcher votre coeur de flibustier

| 18 mai 2017 | william150574
Jeu très ludique et magnifique. Accessible au plus jeunes. Le genre de jeu qui, grâce aux interactions fortes entre joueurs, permet de régler ses comptes...mauvais joueurs s'abstenir...
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| 18 mai 2017 | terrystad
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| 18 mai 2017 | Blue
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| 18 mai 2017 | grimlin
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Pirates des Caraïbes

| 18 mai 2017 | philmarie
Pour leur deuxième jeu (après Splendor), les Space Cowboys nous offrent encore une boîte remplie d'un superbe matériel qui donne immédiatement envie de manipuler les vaisseaux en plastique et les cubes en bois sur le grand plateau aux couleurs vives. Avec un thème porteur (les pirates, moins abstrait que pour Splendor) et des mécanismes très simples, Black Fleet s'adresse avant tout à un public familial, jouable sans soucis à partir de 10 ans, voire un peu moins pour des enfants habitués aux jeux. Chaque joueur dispose de deux bateaux, un vaisseau marchand et un navire pirate qu'il va devoir actionner à son tour. Il pourra aussi jouer un troisième navire, une frégate, dont la particularité est qu'elle sera manipulable par tous les joueurs. Chaque bateau pourra effectuer 1 déplacement, spécifié par une carte, et 1 action, sachant qu'on peut combiner à loisir les deux. L'action du vaisseau marchand sera de vendre des marchandises aux ports qui les acceptent. Les actions des navire pirates sont : soit dévaliser (et couler éventuellement) les vaisseaux marchands ennemis, soit enterrer son butin sur une des plages des îles du plateau. Enfin , les frégates pourront couler les navires pirates ennemis. Chaque joueur dispose aussi jusqu'à trois cartes "Fortune de mer" qui vont modifier les règles à l'avantage de celui qui les joue. Toutes ces actions serviront à amasser un butin qui permettra de développer sa flotte en achetant des pouvoirs supplémentaires, avant de délivrer la fille du Gouverneur en payant la rançon demandée. Je joueur qui aura le premier acheté toute ses cartes développement et délivré la fille du Gouverneur mettra fin à la partie. On terminera alors le tour de jeu et, en cas d'égalité, le plus riche l'emportera. On comprendra aisément que les interactions seront nombreuses sur le plateau de jeu et que très vite les actions de piraterie s'enchaîneront. Il ne sera pas rare de voir des joueurs unir leur flotte contre celui qui sera le mieux placé pour terminer la partie. Les joueurs susceptibles éviteront donc de jouer. Avec des cartes développement différentes à chaque partie et la possibilité d'allonger la durée de jeu, la rejouabilité est au rendez-vous. Black Fleet est donc un jeu très agréable, tant visuellement que par ses mécanismes simples. Il est régulièrement sorti lors des soirées philÔjeux, avec toujours autant de plaisir.
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Un jeu pour joueur roublard

| 18 mai 2017 | cyril83
Un bon jeu pour roublards avec un matériel d'exception. Black Fleet nous immerge avec plaisir dans un univers de pirates avec des mécaniques efficaces et connues mais au service d'une bonne jouabilité. Un petit bémol tout de même car les parties sont un peu longues (autour de 90 minutes) pour un jeu aussi chaotique et opportuniste. A réserver à un public de joueur averti (familial ++)
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| 18 mai 2017 | Sthorm
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Piratez en toute légalité !

| 18 mai 2017 | limp
Quand on voit la couverture de la boite de jeu de Black Fleet, on a envie d'en savoir plus. Quand on déplie l'énorme plateau de jeu et qu'on place les superbes bateaux dessus, il nous démange d'y jouer. Mais le jeu est-il aussi bien que Jamaïca, autre jeu de pirates tout aussi joli et visant un public de joueurs assez large ? Après y avoir joué je peux dire que oui, il est tout aussi prenant. Fort heureusement, mécaniquement parlant, les deux jeux n'ont rien à voir et pourront cohabiter dans une même ludothèque. Dans Black Fleet, vous n'utiliserez aucun dé. De plus, vos bateaux ne se contenteront pas de voguer autour d'une île. Non, vous allez pouvoir les faire naviquer où bon vous semble sur le plateau de jeu et entrerez donc bien plus dans le thème de la navigation inhérente à la vie d'un pirate. Vos navires de commerces tenteront de livrer des marchandises pendant que votre bateau de pirate essaiera de les piller. Sans parler des vaisseaux neutres (dans la règle, des frégates, mais pour moi la garde royale) qui vont essayer de couler les vilains pirates. Il y aura donc de l'interaction, sans pour autant que la partie en devienne plus chaotique ou trop violente envers les joueurs. Non, c'est dans le thème et ça ajoute au plaisir. Dans Jamaïca, vous jouerez une carte parmi trois. Dans Black Fleet, vous en avez deux en main et devez en jouer une. Pas compliqué. Limitatif ? On pourrait le penser. Mais nos cartes spéciales et les pouvoirs personnels (qui changeront d'une partie sur l'autre) qui vont s'ajouter à vos cartes de déplacements, vont permettre de donner aux tours de jeux bien plus d'intérêts. Pour autant, le jeu reste très accessible. Il l'est d'ailleurs à mes yeux davantage que Jamaïca, qui demande une gestion de sa cale plus complexe que les petites combinaisons que vous réaliserez dans Black Fleet pour jouer votre meilleur tour de jeu possible. La boite indique "à partir de 14 ans", ce qui est une hérésie. C'est plutôt "dès 8 ans" qui devrait être inscrit. L'age conseillé choisi l'a probablement été pour vendre le jeu sur le marché US, mais il peut fausser le public cible de part chez nous... Black Fleet est donc un jeu très agréable et prenant dans la pratique. Peu profond mais immersif et proposant un peu de variété pour assurer une durée de vie acceptable. C'est ce "plaisir facile" qui en fait une réussite. Bien dommage cela dit qu'il ne soit proposé qu'à partir de trois joueurs et non de deux. A deux, vos bateaux ne se rencontreraient pas assez et le jeu perdrait en intérêt. Reste à voir si la chose est envisageable en modulant légèrement les règles et en donnant deux couleurs à chaque joueur. Je vais gratter en ce sens, même si j'imagine que l'auteur l'a déjà fait bien avant moi...