Winner's circle

Winner's circle

6/10

  • 2 à 6 joueurs
  • à partir de 10 ans
  • Sortie : 1 janv. 2005
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| 18 mai 2017 | Le Refuseur
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Royal turf

| 18 mai 2017 | oscardejarjayes
J'aime beaucoup ce jeu de Maître Knizia, qui, pour une fois, comporte un thème qui colle bien à cette mécanique de paris et de mises cachées, doublée d'une course très subtile où l'on doit s'adapter aux jets de dés capricieux. Le système de choix de déplacements des chevaux est vraiment original,tout en restant accessible aux jeunes joueurs, car chaque prétendant possède 5 caractéristiques: fougue, selle, casaque, fer, etc... qui démultiplient les choix à faire! La prime de la mi-parcours n'est pas déterminante pour la victoire, mais elle reste fort tentante. Rajoutons enfin que le matériel très British et vraiment beau! A posséder et à pratiquer!
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"Vas-y Grey Lag !"

| 18 mai 2017 | Le Zeptien
"Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, bonjour ! C'est avec le soleil que nous sommes accueillis sur l'hippodrome de Deauville pour assister au départ de la 3 ième. Parmi les favoris, il y a Grey Lag, un cheval agé de 3 ans, appartenant aux écuries de la princesse de Longval, entrainé par l'illustre Jean-Marie Duschmol, casaque blanche, toque rouge. Donné à 3/1, il faudra aussi surveiller Count Fleet, casaque jaune toque bleue, ainsi que Gallorette, casaque verte toque jaune, vainqueur du réçent prix du "Maire de Deauville", donné à 5/1. Notons aussi la présence de Devil Diver, le n° 8, donné à 6/1 et parmi les délaissés, le n°3 Equipoise, à 28/1, un cheval qui a toujours des difficultés sur terrain gras, driver par Jojo kanterbrau, qui a remporter la cravache en osier 2 fois de suite en 2002 et 2003". "Mais les chevaux sont appelés au départ....et le signal est donné, la course est partie....et c'est Phar Lap qui prend le commandement de la course, suivit par Devil Diver, Sysonby et Twilight Tear, alors que Equipoise ferme la marche en compagnie de Gallorette qui prend un départ prudent. Le favoris Grey Lag se glisse au milieu de groupe et attend son heure. Au premier virage, c'est à présent Devil Diver qui prend la corde, serré de près par Discovery, le N°9 donné à 15/1, pendant que Count Fleet fourni un effort pour se replacer, et que Grey Lag...." Ahaaaaaa !!! Vous voudriez connaître la suite hein ? Et bien c'est en jouant à Winner's Circle que vous pourrez retrouver les frissons des champs de courses et connaitre la fin de cette course palpitante. Voilà un bon jeu de début de soirée (ou de fin), qui mettra de l'ambiance autour de la table. Ne vous y trompez pas...c'est aussi ce que l'on appelle un jeu (voile pudique sur le terme) "d'enfoiré", où il est possible de bluffer, faire des coups vraiment tordus à vos adversaire, et jouer des variantes vraiment amusantes. Un bon jeu de course qui renouvelle le genre, signé Reiner Knizia (oui, encore). Et puis, il y a un certain plaisir à annoncer "Ce soir, nous allons jouer aux petits chevaux !"...regardez bien la tête de vos partenaires habituels et immortalisez cette instant en prenant une photo...moi, je regrette de ne pas l'avoir fait la première fois que j'ai sorti Winner's circle !
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Vas-y cocotte (minute) ! Hue, bourrique (barrique) !

| 18 mai 2017 | Meeeuuhhh
Type de jeu : Où l’on peut faire tout un tas de jeux de mots (de mors ?) stupides avec les noms des chevaux (même s'il faut cravacher dur). Nombre de parties jouées : 2 Avis compendieux : Ma première partie, effectuée dans un état de fatigue avancée (oui, madame, je travaille, et ça me fatigue), m’avait laissé perplexe, bien que m’ayant diverti. La seconde a achevé de me convaincre : l’intérêt essentiel de ce jeu est de pouvoir se creuser la tête en faisant des jeux de mots stupides sur le nom des chevaux et plus généralement, par contamination, sur tout ce qui traîne autour du plateau. Lors de la première partie, le matériel aidant, de lointains souvenirs émus de folles parties de petits chevaux avaient refait surface. On est loin des petits chevaux, certes (quoique, on peut aussi chercher à s’y bloquer, à y bluffer, car les petits chevaux, ce n’est certainement pas si stupide que ce que veulent bien le dire certains), mais Winner’s Circle reste un jeu d’apéritif (un peu long, l’apéritif, peut-être), malin et drôle, plus divertissant qu’autre chose. Clarté des règles (4) : Je ne mets que 4 parce qu’il paraît qu’il y a des trucs pas clairs. Et puis moi dont au sujet duquel les chroniques chevalines sur France Inter boursouflent le cortex au plus haut point, j’ai toujours du mal, par principe, à comprendre ces histoires de canassons sur le dos desquels s’agitent frénétiquement des nains bariolés sous le regard lascif et frétillant de duchesses et autres comtesses. Qualité du matériel (4) : Si l’objectifs des créateurs du matériel était de faire dans le kitsch, c’est très réussi. On pourra néanmoins avoir du mal à distinguer, surtout dans un état de fatigue avancé se traduisant entre autres par l’émission de jeux de mots de plus en plus stupides, les différentes nuances de couleurs des chevaux, bien qu’icelles aient été choisies de façon soignée, en évitant des couleurs de robes par trop peu chevalines. Reflet du thème (4) : On se prend vraiment pour une duchesse dont le regard frétille lascivement à la vue exaltée de tous ces nains bariolés qui s’agitent non moins frénétiquement sur d’innocentes bêtes rêvant à de verts pâturages. Ou pour un cadre moyen griffonnant à l’improviste sur un bout de papier les noms poético-burlesques des canassons ayant galopés avec plus de célérité que les autres sur le terrain parfois trop lourd, parfois trop mou (et même que parfois, c’est la faute des sangliers qui ont mangé des cochonneries), déversés (les noms des canassons) sur les ondes radiophoniques. Mais on ne se prend pas du tout pour un cheval. Ben non, ça doit faire mal, les coups de cravache. Avis comportant ratiocinations et autres superfétations : Loin de moi l’idée de me laisser aller ici à des considérations stratégico-burlesques comme cela m’arrive malheureusement parfois, voire souvent, comme tout à l’heure du reste à propos d’Yspahan. Ce jeu est plutôt rigolo, permet de jongler avec les statistiques (du reste, les chevaux, statistiquement parlant, ont la même vitesse potentielle sur un nombre infini de lancers de dés), permet de bloquer les chevaux sur lesquels on n’a pas parié, permet de bluffer sur le cheval sur lequel on n’a fait que semblant de parier, bref, tout ceci est très rigolo, surtout si on s’imagine en duchesses à l’œil frétillant, même si le plus grand soucis d’icelles n’est peut-être pas, en réalité, de savoir si elles vont gagner des millions grâce à ces braves bêtes.