Bordeaux, à l'époque où elle se nommait encore Burdigala.

Les joueurs sont des architectes qui sillonnent la ville pour faire avancer les différents chantiers qui feront surgir de beaux monuments... et de la gloire pour ceux qui seront parvenus à les achever !

Lors de son tour, on jette deux dés et on en conserve un. On déplace alors son pion architecte d'autant de cases sur le plateau de jeu, sans avoir le droit de faire des allers-retours.

Si on fait un double, on peut choisir de piocher un jeton de corruption (de -5 à 0 Pv obtenus), pour jouer un tour supplémentaire. Sur un résultat de 7 sur le total des deux dés, on peut également prendre un jeton de corruption pour soit piocher une carte marchandises (la case chantier sur laquelle atterrit le pion architecte se voit alors attribuer une ressource) soit poser 2 cubes sur le même chantier.

Une fois la phase des lancés de dés et leurs effets déclenchés, si le chantier n'est pas terminé, on gagne autant de points victoire que d'emplacements vides restants.

Si la ressource ajoutée était la dernière manquante, le chantier est terminé: le joueur l'ayant achevé retourne le jeton monument qui y était placé pour savoir combien de points il va gagner (de 0 à 8!), certains bâtiments offrant un nombre de points de victoire fluctuant selon ce que vous possédez ou pouvant vous délivrer de jetons de corruption...

Cette partie n'est pas aussi aléatoire qu'il n'y parait car les petits chantiers rapporteront moins que les gros: les monuments à y construire seront plus imposants.

Un effet sympathique vient pimenter la donne: quand un chantier est terminé, tous les architectes voisins gagnent une carte qui va leur donner des avantages.

On peut aussi aller au port pour faire du commerce, afin de s'assurer des points de victoire en fin de partie...