Ca faisait presque 10 ans que je n'avais pas joué à Puerto Rico, lui préférant sa version soft San Juan. L'esprit du jeu s'en est souvenu et m'a cherché des noises toute la partie.
Elle fut, pour moi, d'une énorme frustration, j'étais perpétuellement à la recherche d'argent, je passais à côté des expéditions, des ventes, des productions constamment, et j'avais l'impression que chaque action que je prenais avantageait plus mes adversaires que moi. Jérôme a fait très vite l'achat d'un Wharf (qui donne un bâteau virtuel à son possesseur) et a profité au maximum du Capitaine, Emilie avait la Factory (qui permet de mettre des sous de côté à chaque production).
De mon côté, je n'ai jamais réussi à investir dans l'un de ces gros bâtiments générateur de revenus,toute la partie, il m'a manqué un doublon, un misérable doublon, et dire que je l'avais dans la poche gauche depuis le début !
C'est pas de bol.
En 10 ans, le jeu n'a pratiquement pas perdu de sa superbe, en dehors du matos qui n'est pas d'une qualité exceptionnelle (pour la version US), le jeu a su garder son intérêt, à tel point que certaines des sorties ESSEN 2012, me font penser à lui, tant sur le thème que sur les mécaniques.
Le seul reproche que je lui ferai c'est au niveau de la phase marchande, dans laquelle, j'aurai souhaité pouvoir vendre plusieurs biens (oui, je vous l'ai dit, j'ai cherché ce satané doublon toute la partie)
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Ca faisait presque 10 ans que je n'avais pas joué à Puerto Rico, lui préférant sa version soft San Juan. L'esprit du jeu s'en est souvenu et m'a cherché des noises toute la partie.
Elle fut, pour moi, d'une énorme frustration, j'étais perpétuellement à la recherche d'argent, je passais à côté des expéditions, des ventes, des productions constamment, et j'avais l'impression que chaque action que je prenais avantageait plus mes adversaires que moi. Jérôme a fait très vite l'achat d'un Wharf (qui donne un bâteau virtuel à son possesseur) et a profité au maximum du Capitaine, Emilie avait la Factory (qui permet de mettre des sous de côté à chaque production).
De mon côté, je n'ai jamais réussi à investir dans l'un de ces gros bâtiments générateur de revenus,toute la partie, il m'a manqué un doublon, un misérable doublon, et dire que je l'avais dans la poche gauche depuis le début !
C'est pas de bol.
En 10 ans, le jeu n'a pratiquement pas perdu de sa superbe, en dehors du matos qui n'est pas d'une qualité exceptionnelle (pour la version US), le jeu a su garder son intérêt, à tel point que certaines des sorties ESSEN 2012, me font penser à lui, tant sur le thème que sur les mécaniques.
Le seul reproche que je lui ferai c'est au niveau de la phase marchande, dans laquelle, j'aurai souhaité pouvoir vendre plusieurs biens (oui, je vous l'ai dit, j'ai cherché ce satané doublon toute la partie)