Partie à deux sur San Juan, que Cyril découvre, mais qui est un grand adepte de Race.
Il commence très fort avec une carrière suivie d'un +1 quand une bâtiment violet construit : oups, ya du card advantage là ! (et ça va vite continuer avec une charité...).
De mon côté, je réponds avec plantation de café et étal, un second café venant vite en renfort. Cyril ne se battra pas du tout sur les plantations mais fait un card advantage solide et commence à construire des monuments et l'arc de triomphe. Ca chauffe pour moi qui ai laissé passé une préfecture (erreur ?) et dont la mine (ces deux cartes fragilisant ses prises de rôles), activée quatre fois, ne rapportera rien. Il joue une carte m'obligeant à réduire ma main à six cartes. J'avais déjà le bâtiment me permettant de faire tourner ma main à chaque phase de gouverneur. Je lui adjoint une église pour ne pas perdre bêtement ma septième carte, espérant au passage picorer sur les points d'avance qu'il a. Mais le bougre joue rapidement un port, histoire de calmer mes talents de vendeur de bons produits agricoles.
Argh, ça va être dur...
Et là, alors que mon adversaire peut tuer la partie en jouant la carte évènement permettant de rejouer le bâtisseur et de confirmer son avance (vu que je n'ai pas assez de cartes en main pour jouer un bâtiment à six), il fait un petit choix de rôle. Nouveau tour de gouverneur : un de plus dans mon église et une pioche urgente pour enfin trouver la Guilde tant attendue (mais vu le nombre de cartes brassées, c'est mérité) et pouvoir la poser durant son étape de bâtisseur... qui me fait gagner 34 à 32. Je n'aurais jamais dû la remporter celle-là, et la prochaine fois, mon adversaire ne me fera pas une telle fleur...
Il y a 1 commentaire
Partie à deux sur San Juan, que Cyril découvre, mais qui est un grand adepte de Race.
Il commence très fort avec une carrière suivie d'un +1 quand une bâtiment violet construit : oups, ya du card advantage là ! (et ça va vite continuer avec une charité...).
De mon côté, je réponds avec plantation de café et étal, un second café venant vite en renfort. Cyril ne se battra pas du tout sur les plantations mais fait un card advantage solide et commence à construire des monuments et l'arc de triomphe. Ca chauffe pour moi qui ai laissé passé une préfecture (erreur ?) et dont la mine (ces deux cartes fragilisant ses prises de rôles), activée quatre fois, ne rapportera rien. Il joue une carte m'obligeant à réduire ma main à six cartes. J'avais déjà le bâtiment me permettant de faire tourner ma main à chaque phase de gouverneur. Je lui adjoint une église pour ne pas perdre bêtement ma septième carte, espérant au passage picorer sur les points d'avance qu'il a. Mais le bougre joue rapidement un port, histoire de calmer mes talents de vendeur de bons produits agricoles.
Argh, ça va être dur...
Et là, alors que mon adversaire peut tuer la partie en jouant la carte évènement permettant de rejouer le bâtisseur et de confirmer son avance (vu que je n'ai pas assez de cartes en main pour jouer un bâtiment à six), il fait un petit choix de rôle. Nouveau tour de gouverneur : un de plus dans mon église et une pioche urgente pour enfin trouver la Guilde tant attendue (mais vu le nombre de cartes brassées, c'est mérité) et pouvoir la poser durant son étape de bâtisseur... qui me fait gagner 34 à 32. Je n'aurais jamais dû la remporter celle-là, et la prochaine fois, mon adversaire ne me fera pas une telle fleur...