Jedisjeux

Je n'ai fait qu'une partie, mais elle fut un peu longue pour moi. Bien sûr je n'ai pas gagné, il faut dire qu'après 1 heure d'explication de règles, je n'avais même pas envie de m'y lancer. Bon aller, motivation !!! J'imagine les différentes stratégie possible dans le jeu en écoutant les règles. Et j'en choisi une, celle de faire vieillir mes monstres, afin d'en tirer un meilleur prix et surtout de gagner les concours ... Grave erreur ! En faite, il n'y a priori qu'une seule manière efficace de gagner des points, vendre rapidement et efficacement, car ces actions remporte beaucoup de point, environ 2x à 3x plus que les concours et ça sans concurrence ! Du coup, il faut acheter des monstres, les faire légèrement vieillir et hop les vendre ! Après pour faire ça il y a plein de manière de faire ! Mais la bonne, c'est de ne pas faire celle des autres. Avec un léger bémols sur le bonus, certains sont quand même beaucoup plus puissant que d'autres. C'est le genre de jeux avec beaucoup de mécanique, mais finalement peu de profondeur. On se rend vite compte, que le hasard à une grande place dans le jeu et qu'il n'y a qu'une stratégie viable. Après ça reste mon avis

J'étais d'abord un peu réticente à me lancer dans la lecture de ce livre d'instructions, après avoir affronté celui de Dongeon Lords l'an dernier. Toutefois, j'ai eu le plaisir de découvrir que Dongeon Petz est beaucoup plus fluide et logique que son prédécesseur. En fait, je suis tombée amoureuse de ce jeu et les gens avec qui j'ai pu jouer aussi. Bien qu'il demande un minimum de concentration et au moins 1h30 pour y jouer, l'amusement est toujours présent surtout en raison du thème si adorable du jeu et de ses composantes magnifiquement illustrées. On se prend vraiment au jeu de répondre aux besoins de nos monstres et on a presque un pincement au coeur lorsque vient le temps de les vendre. Toutes les actions sont logiques et donc, bien qu'il y ait de nombreuses étapes et beaucoup de calculs, un peu comme Dongeon Lords, il est assez facile de s'en souvenir et que ce soit naturel après quelques parties. Un jeu que je conseille fortement.

Dans la grande veine de Dungeon Lords, l'élevage de Petz remplit bien son office : faire plus simple et plus intuitif que le mastodonte indigeste Dungeon Lords. Le pari est donc pratiquement accompli, même si il y a encore beaucoup de règles, c'est plus fluide, plus interactif et plus fun ! Les graphismes sont encore une fois superbes et le système de jeu permet d'établir de belles stratégies à moyen terme. C'est encore bien long, mais bien bon ! Alors, grand maître du donjon, elle est pas belle ma créature ?

Cette avis est posté après une seule partie et est donc toute relative. Nous arrivons à 21h et découvrons le jeu en lisant les règles. Plus d'une heure pour faire le tour du pavé du livret qui, il faut bien le reconnaitre, est très agréable à regarder avec du texte clair et fun. Au niveau graphismes, c'est top rigolo avec des monstres à croquer en faux méchants comme le lapin aux dents de vampire sanglantes qu'on a envie de serrer dans ses bras ou encore le gros ancien cthulien qui malgré les attentes de leur créateur, n'a faut que lécher avec amour ses soigneurs. On se surprend à regarder chaque détails sur le plateau ou sur les autres éléments du jeu en se disant que ça serait cool qu'ils soient plus grand mais que plus grand, il faudrait une table gigantesque. C'est donc un beau jeu avec un humour très drôle et un thème rigolo autour de l'élevage des créatures méchamment rigolotes à vendre à des personnages hauts en couleur genre ratés des donjons. Comment ça marche ? on fait des groupes de mignons qui déterminerons l'ordre de placement sur le plateau dans les actions disponibles parmi : adopter un monstre, acheter une cage, l'améliorer, acheter de la bouffe, et quelques autres. Rien de bien neuf dans ce jeu de placement d'ouvriers outre le thème bien sur. J'ai quand même eut l'impression que le trop grand nombre d'actions nuis à la stratégie à mettre en place. Dur dur de maitriser ce jeu un peu trop ouvert à mon goût. Sympas quand même.