La première partie de notre reportage était consacrée à tout ce qu'on pouvait trouver sur le festival qui n'était pas du jeu de société pour les grands.
Ce sont cette fois-ci ces derniers qui sont mis en avant, avec parfois d'autres à jouer avec ses enfants, car après tout, ne pas jouer avec ses enfants, ce serait bien dommage, non ?
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Le Jeu ayant reçu le meilleur buzz avant salon... après salon, il semble toujours autant plaire.
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L'auteur, Richard Garfield (oui, il s'agit bien du monsieur qui a inventé Magic: l'assemblée), l'invité de marque du festival, jouant à son jeu, en famille.
Allez, une info secrète rien que pour vous : ne vous habituez pas trop aux 2Pv par tour entier resté à Tokyo car cette règle pourrait bien changer avec la première extension du jeu...
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Peut-être pas le jeu le plus "sexy", mais certainement un des meilleurs jeux du salon...
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La nouvelle version de Crôa
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Un très bon jeu familial.
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Qwirkle, nommé à l'As d'or.
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Un beau jeu à jouer en famille.
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Un des nommés du précédent Spiel des Jahres.
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Après King Of Tokyo, le second jeu 100% Iello, signé Bruno Faidutti.
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La surprise de l'éditeur, avec une nouvelle Vf annoncée.
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Et apparemment, il va y avoir pas mal de matos dans la boîte !
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Sur le stand de Hazgaard, on pouvait jouer à leurs derniers jeux sur de jolies plots décorés.
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Au centre, Charles Chevallier, l'un des trois auteurs, dont trois réalisations se trouvaient à Cannes (Intrigo, Jurassik et Monte Cristo...).
Pour avoir déjà joué à chacun, on peut à l'heure actuelle parler de "sans faute"...
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Un petit livret de règles pour pouvoir jouer à Intrigo à deux joueurs.
Pour ceux qui l'ont raté, on peut les télécharger ici.
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La version nouvelle, de la gamme Petit Futé de Pocket Rockets.
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Le prochain jeu de l'éditeur, Alien Menace pouvait se jouer ici.
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Emmanuel Beltrando, M. Moonster Games, posant devant l'affiche de Gosu.
Vivement l'extension...
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La version prototype du prochain jeu de l'éditeur : Fame us
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Une main de départ.
Le jeu est une sorte de Time's Up, sans les mimes mais avec du bluff et plus de tchache.
Un peu comme pour Dobble avec Jungle Speed, à mes yeux, ce futur jeu va donner un coup de vieux au maitre du genre...
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Sur le stand de Queen Games, on pouvait se procurer les extensions de Fresko et de Shogun.
Celle de Shogun était à 29€ et je regrette de ne pas avoir voulu bourrer mon sac avec elle, tant ce "prix salon" était des plus attirant.
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Mon plus grand regret du salon : ne pas avoir joué à ce jeu.
Mais je compte bien me rattraper très vite...
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Sur le stand de Ystari, on pouvait se procurer le magazine de l'éditeur, mais aussi jouer au dernier né : Les Mousquetaires du Roy.
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En avant première, était présenté Olympos.
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7 Wonders, qu'on ne présente plus, repartira avec le "prix spécial du jury".
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Pierre Lechevalier et Marie Cardouat.
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Première partie à trois lors du salon plus que concluante.
Depuis, le jeu est entré dans ma ludo...
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Le fameux principe du "slide".
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Chez Matagot, un retard peut parfois devenir un goodies : pour Cannes, l'extension de Dice Town était proposée à€ dans un coffret en bois. Plusieurs choix étaient disponibles...
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Le Jedistest de la première version...
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La nouvelle édition de Expédition Altiplano.
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L'article sur la création du jeu
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Un très bon jeu qui se sera fait attendre.
La mini extension 100% Jedisjeux
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Christophe Raimbault, l'auteur.
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Et oui : nous n'avons pas mis ce jeu dans la rubrique "enfant" de notre reportage photos.
Mais on y reviendra...
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Un petit jeu de rapidité bien sympathique...
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Deux jeux étaient disponibles sur les tables.
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Un des différents Tee-shirt dédiés au jeu qui étaient offerts lors du salon.
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Présenté en version prototype, "Et Toque!" aura été de loin notre jeu préféré du salon, sur ceux joués bien entendu.
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Une ardoise et un feutre, douze mots... et la sauce prend.
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Selon la Carte "repas" piochée, vous devrez faire un repas composé d'autant de plats que vous le voulez et en utilisant au moins 4 de vos plaquettes.
Le but ?
A la lecture des "repas", retrouver à qui appartient chacun en lisant chaque ardoise.
Chaque bonne réponse rapporte un point et vous gagnez point de plus par personne qui retrouve votre "repas".
C'est simple, efficace, poétique et marrant.
Vous aimez Sandwich ? Il y a un peu de ça dans "Et Toque!".
Vous aimez Dixit ? Il y a un peu de ça dans "Et Toque!".
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Dixit était présenté en version Imachine, Itruc et Ichose.
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Le prochain Dixit...
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Le dos de la boîte.
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Les plaquettes pour voter : plus simple quand on joue jusqu'à 12.
Idem pour le plateau de décompte.
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Preuve à l'appui que les cartes de Fabula (ou de Dixit) peuvent faire de très beaux tableaux.
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Sur le stand de Krok Nik Douil, on pouvait jouer à Régents, dont la production devrait démarrer très prochainement.
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L'éditeur, qui a toujours quelques protos sous les bras, mettait en avant sur son stand Carribean Sea, un jeu assez rapide à base de dés, comme vous le voyez.
A noter que Wiraqocha, présent au festival, semblait boxer dans la même catégorie. Et si nous n'y avons pas joué, il nous faisait bien envie...
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Le principe de Carribean Sea est simple : vous jetez vos dés et vous pouvez dépenser vos pièces pour en rejeter autant que vous le voulez et ce tant que vous avez des pièces. Puis vous attribuez vos dés pour en récupérer d'autres, prendre des navires (ou miser sur un d'entre eux, au risque de vous faire déloger vos dés), charger des trésors, remporter des cartes dont les capacités vous aideront ou encore attaquer d'autres bateaux pour les piller ou les couler.
Les dés déloger se récupèrent moyennant argent et chaque plateau individuel possède une capacité propre.
Sympathique. Ne reste plus qu'à voir si jeu trouvera son public.
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Lors du Off, nous avons joué à un autre prototype de l'éditeur, appelé pour le moment "Froggy".
Il s'agit d'un jeu de stop ou encore à base de dés.
Vu qu'aucune (éventuelle) date d'édition n'est prévue, nous préférons ne pas détailler les règles mais le jeu est très bon : un vrai jeu familial plus malin qu'il ne semble.
Il nous a plus emballé encore que Carribean Sea (en fait les prototypes les plus sympas de KND auxquels nous avons eux la chance de jouer avaient chaque fois pour thème des animaux : grenouilles, oiseaux, moustiques...)
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Réédition de I'm The boss (2003)
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Pas mal de jeux distribués par Asmodée mis en avant.
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Voici d'abord quatre bons jeux de chez Gameworks : Jaipur, Sobek, Tikal II et Jamaïca.
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Abalone, tout fraichement ressorti chez Asmodée dans un nouveau boîtage, qui éclipse l'ancienne boîte hexagonale.
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Offboard : une partie en cours...
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Digger, le numéro deux de l'actuelle trilogie des petites boites rondes métalliques.
Djam, le numéro 3 de la trilogie. Une sorte de "Petit Bac" réussi, qui se joue en simultané.
Le seul reproche à faire au jeu se situerait au niveau de la durée de vie de ce dernier.
Nonsense pourrait être considéré comme une version épurée de "Petit meurtres et fait divers" (photo ci-dessus).
Identik, l'As d'or de l'année dernière.
Skull & Roses, le vainqueur de cette année.
(que nous n'avons personnellement pas tant apprécié).
Son avantage ?
Vite expliqué, vite joué, et il tient dans une petite boîte...
... tout comme les Loups garous de Thiercellieux
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L'éditeur a créé il y a quelques temps son propre prix pour titrer de façon ironique ses prores jeux, qui rataient les sélections de prix de peu très souvent.
On pourra regretter qu'il n'ai pas décerné le prix au jeu sollicité par les joueurs lors d'un vote sur Tric trac alors que pour une fois ces derniers avaient plébiscité un jeu d'ambiance.
C'est donc "L'ile Interdite", jeu plus sérieux et moins représentatif à l'heure actuelle du catalogue de l'éditeur, qui a reçu le "cocktail d'or 2010".
Ca fera plaisir à l'éditeur de la VO assurément...
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Le vainqueur de ce prix "à part".
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Comment ce petit chien peut il dormir dans le bruit du salon, surtout quand à sa table il se joue une partie de Rythm & Boulet ?
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Pictionary se décline en version "cartes"
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Mathable, sur le stand de Blackrock éditions
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voici la boîte non définitive du dernier vainqueur du concours dont est sorti vainqueur l'année précédente Arriala (son Jedistest)
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Le matos (version prototype)
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Nous n'avons pu jouer au jeu lors du salon, ni même discuté avec Oscar de Curbans, ces deux derniers ayant été pris d'assaut chaque fois que nous passions sur le stand.
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Claustrophobia et ses jolies figurines peintes
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Elles ont surement joué un rôle essentiel au succès du jeu
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Régulièrement, de nouveau scénarii sont proposés sur le site du jeu
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Une fiche perso
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L'auteur du jeu, Croc, jouant à un autre jeu du même type : Dust Tactics
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Bastions, un autre jeu d'escarmouches
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Vous pouvez y jouer en ligne grâce à VassalFactory.
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Et si les Echecs sont considérés par certains comme le roi des jeux abstraits, autant parler de Jactalea, l'éditeur que nous considérons comme le roi des jeux abstraits.
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Des versions surdimensionnées de jeux abstraits étaient présentes un peu partout
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Le jeu d'extérieur de référence !
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Si vous aimez lire et que vous appréciez les casse-tête...
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Mathisto, c'est un jeu de sept familles amélioré, car il propose des jokers, plus de choix et d'interactions. Le décompte des points est lui aussi plus riche et des questions sur les grands mathématiciens ponctuent la partie.
Un jeu pédagogique qui devrait satisfaire les enseignants de mathématiques.
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Quand on sort prendre l'air pour manger, on peut tomber sur des bars étonnants...
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Lors des off, nous aurons essayé peu de jeux, mais nous étions venu avec "Jump Gate" et y avons joué à quatre joueurs.
Comme nous n'avions pas pris de photos de la partie et voulions vous présenter le jeu (mais on en reparlera...), voici une partie à deux joueurs, réalisée quelques jours avant le festival...
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Jump Gate est avant tout un jeu de cartes. Mais la thématique est bien mise en avant par les mécanismes. Les joueurs débutent la partie sur le Jump Gate mais n'y retourneront pas : ils graviteront autour de 8 des 12 planètes que comporte le jeu.
Chaque fois qu'ils réalisent un "bond", ils mettent un compteur sur le Jump Gate, le joueur y étant majoritaire en fin de partie remportant 5PV.
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Vos cartes en main ont deux caractéristiques parmi trois possible et parfois un pouvoir particulier.
Vous pouvez jouer vos cartes pour leur pouvoir ou pour une des deux caractéristiques.
Grosso modo, vous pouvez "jumper" c'est à dire allez vers la planète de votre choix dont le chiffre bleu correspond à la valeur de jump de la carte défaussée.
Vous pouvez aussi réaliser un scan sur une planète, si vous jetez une carte ayant la valeur (verte) correspondant. Vous posez alors un jeton près de la planète (+1PV) qui vous permettra de prendre une ressource de la planète quand un joueur y atterrira et d'en dévoiler déjà une.
Pour atterrir, il vous faut avoir deux cartes avec les deux valeurs jaunes correspondant à la planète où vous êtes. Toutes les ressources non dévoilées le sont et vous en prenez une. Puis les joueurs ayant au moins un scan en prennent une aussi. Atterrir ne se fait qu'une fois par planète et donne 3PV.
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Les autres actions possibles sont de se déplacer vers une planète voisine ou de prendre une ressource de la planète où on est si un joueur a déjà atterrit dessus.
On peut aussi pour une action (on en a que deux durant son tour) défausser autant de cartes de sa main pour en piocher assez pour revenir à 5.
Les pouvoirs spéciaux sont sympa et chaque carte donne envie d'être jouée de plusieurs façons.
Les ressources rapportent plus ou moins de Pv, sous différentes conditions et parfois vous obligent de mettre un marqueur sur le "trou noir". Or ce dernier oblige le joueur majoritaire en fin de partie de perdre des ressources. Et comme des capacités de cartes permettent, par exemple, de virer des marqueurs...
La partie stoppe quand il ne reste plus que des ressources d'un type précis ou quand le trou noir a en tout 9 marqueurs : ne reste plus alors qu'à compter les points.
4 parties pour le moment et un Jedistest en préparation pour dans quelques temps...
Bientôt, la troisième et dernière partie de notre reportage photos de Cannes...
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