Spellbound : la règle en français...

Présenté dernièrement à l'occasion du salon d'Essen 2012 avec un tirage limité à 1 000 exemplaires, Spellbound a rapidement été sold out.

Pour la petite histoire, vous y incarnez un apprenti-mage, et quittez votre tour pour la première fois. Et jusque là, vous vous imaginiez invincible...

Défier la maléfique sorcière Baba Yaga n'était peut-être pas une bonne idée, finalement. Ses mains vous parurent floues, sa bouche déformée et son charme vous sauta aux yeux. C'était deux jours avant votre réveil, quatre jours avant de pouvoir prendre la parole, et sept jours avant de vous souvenir de votre nom. Et le whisky n'était pas impliqué dans tout ça...

Certaines parties de votre corps ont été élargies et certaines rétrécies. Il va falloir reprendre tout ça en main...

Le sort "Spiel" a été caché en plusieurs parties disséminées dans tout le pays. Reconstituer le livre et lancer le sort vous permettra de bannir la sorcière et revenir à votre taille normale. Cependant, faites attention! La sorcière est puissante. Peut-être que les bonnes créatures de la terre viendront à votre aide. Les centaures peuvent galoper, les dragons peuvent voler, et même le vieux bibliothécaire pourrait faire des recherches au résultat salvateur au milieu de ses tomes poussiéreux.

Mais ce n'est pas tout, car les vampires et les nains seront de la partie. Vous devez agir maintenant. La sorcière se développe et devient jour après jour plus forte. Squelettes et gobelin ne sont pas connus pour leur sens de l'humour ni pour leur accueil chaleureux. Pouvez-vous récupérer les grimoires, vaincre la sorcière et ses alliés, et entendre ensuite les bardes chanter

vos louanges pour l'éternité?

Il y a un temps pour la justice, un temps pour le changement, un temps pour les héros. Avec de grands pieds. Et un gros nez.. Mais tout ça pourrait revenir à la normale...

Ludigaume nous propose depuis quelques temps les règles en français : faites-y un tour, car le jeu pourrait revenir sur le devant de la scène...

Réagir à cet article

Il n'y a aucun commentaire