Une partie de Comuni, partie découverte pour les 4 joueurs hier soir au local, pendant que se jouait un Sylla config 3 à coté. Je précise cela car ils ont fini largement avant nous (avec explications de règles aussi).
Bon, l'explication des règles est un peu longue, et pourtant, le jeu n'est pas très complexe en soit, même si j'ai mis du temps à comprendre le système du pillage au moment des invasions...oui, faut toujours un boulet, et hier soir, ce fut moi.
Pas mal du tout ce jeu. j'en avais lu de bonnes critiques, puis des moins bonnes de la part de ceux qui en avaient déjà plusieurs parties au compteur.
Mais cette première partie m'a beaucoup plu. On retrouve des ressources à obtenir et des bâtiments à construire. j'avais Bologne (la cité de l'or). L'idée simple et bien trouver est le fait que le joueur qui a le plus de points (et donc le plus de bâtiments) doit aussi un peu plus cravacher que les autres pour se défendre. Le système de construction est d'ailleurs subtil et là aussi...heu...j'ai eu un peu de mal à comprendre...je devais pas être très en forme moi hier soir.
Evidemment, j'aime beaucoup ce système d'enchères à la Amun Re (l'un de mes jeux d'enchères préférés), avec la pression à chaque tour de "Je ramasse des cartes où j'attends encore ?"...Les invasions font vivre un moment amusant (que vont donner les autres au "pot commun" des armées ?), et naturellement mieux vaut avoir de bons et hauts remparts (chose que je n'ai pas eu pour 3 invasions, seule la dernière vit les troupes ennemies repartir sans rien de ma belle cité). l'ordre des actions (les différentes phases) est aussi interessant.
Jouer selon le bon tempo (on reconnait bien là la "patte" des auteurs de Leonardo da Vinci) est très important.
Bref, une partie agréable sur un jeu qui l'est pas moins...a voir donc maintenant sur la longueur.
Je précise cela car ils ont fini largement avant nous (avec explications de règles aussi).
Justement, ils sont passés très promptement sur l'explication des règles, parce que tout le monde les avait lues. Ils ont donc quasiment fait une partie sans explication de règles.
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Une partie de Comuni, partie découverte pour les 4 joueurs hier soir au local, pendant que se jouait un Sylla config 3 à coté. Je précise cela car ils ont fini largement avant nous (avec explications de règles aussi).
Bon, l'explication des règles est un peu longue, et pourtant, le jeu n'est pas très complexe en soit, même si j'ai mis du temps à comprendre le système du pillage au moment des invasions...oui, faut toujours un boulet, et hier soir, ce fut moi.
Pas mal du tout ce jeu. j'en avais lu de bonnes critiques, puis des moins bonnes de la part de ceux qui en avaient déjà plusieurs parties au compteur.
Mais cette première partie m'a beaucoup plu. On retrouve des ressources à obtenir et des bâtiments à construire. j'avais Bologne (la cité de l'or). L'idée simple et bien trouver est le fait que le joueur qui a le plus de points (et donc le plus de bâtiments) doit aussi un peu plus cravacher que les autres pour se défendre. Le système de construction est d'ailleurs subtil et là aussi...heu...j'ai eu un peu de mal à comprendre...je devais pas être très en forme moi hier soir.
Evidemment, j'aime beaucoup ce système d'enchères à la Amun Re (l'un de mes jeux d'enchères préférés), avec la pression à chaque tour de "Je ramasse des cartes où j'attends encore ?"...Les invasions font vivre un moment amusant (que vont donner les autres au "pot commun" des armées ?), et naturellement mieux vaut avoir de bons et hauts remparts (chose que je n'ai pas eu pour 3 invasions, seule la dernière vit les troupes ennemies repartir sans rien de ma belle cité). l'ordre des actions (les différentes phases) est aussi interessant.
Jouer selon le bon tempo (on reconnait bien là la "patte" des auteurs de Leonardo da Vinci) est très important.
Bref, une partie agréable sur un jeu qui l'est pas moins...a voir donc maintenant sur la longueur.
Je précise cela car ils ont fini largement avant nous (avec explications de règles aussi).
Justement, ils sont passés très promptement sur l'explication des règles, parce que tout le monde les avait lues. Ils ont donc quasiment fait une partie sans explication de règles.