Et c’est une nouvelle fois Amyitis qui fut retenu pour animer notre soirée du mardi soir. Monsieur Edouard ne connaissant pas le jeu et étant pris d’une « flemme explicative » (une maladie qui me frappe de temps à autre), c’est donc monsieur Cormyr qui s’est chargé des explications. Une fois la chose faite, nous voilà donc repartis à Babylone afin de construire les jardins suspendus offerts par un époux aimant à une reine au caractère qu’on devine pas facile. Naturellement, nous avons joué avec l’extension : difficile de s’en passer une fois qu’on l’a essayée.
Que vous dire, sinon qu'à nouveau, les scores furent relativement serrés jusqu’aux 20 points, puis monsieur Thomas va commencer à prendre une avance qu’il ne perdra plus malgré nos efforts. Je restais accroché à la seconde place et c’est seulement vers la fin que monsieur Cormyr est parvenu a me rattraper, pour mieux me dépasser ensuite. Chose notable (pour moi), j’avais acquis assez rapidement le niveau de banque à 2 points et 2 sous. Je vais en revanche me faire griller sur les niveaux de monument : la troisième carte niveau 1 m’est passée sous le nez à la vitesse du chameau au galop. Les chameaux, parlons-en. N’ayant pas pris de carte chameau, ma vitesse sur les villes restait donc assez limitée. Heureusement, je parvenais à compenser avec ma puissance financière, allant chercher des chameliers « à 2 sous » sans problème quand il le fallait. Mais quand même, je vais pas pouvoir planter à certains moment en raison d’un capacité de progression limitée si bien que je vais pas avoir la fameuse faveur d’Amyitis…oui, même celle à 5 points. Monsieur Cormyr n’en pas eu ce problème et marqua gaillardement 10 points.
L’extension a montré une nouvelle fois tout son intérêt, avec le recrutement gratuit, ou encore l’option « Procession », souvent utilisée par monsieur Thomas. Notons qu’il a acquis un niveau de banque à l’avant dernier tour, comme quoi, pour ceux qui en douteraient encore, on peut gagner sans la banque…et perdre avec aussi.
En ce qui me concerne, j’ai choisi tantôt la première place (fort utile surtout quand les 4 paysans ne sont pas en jeu), une ou deux fois la procession, et même une fois le recrutement gratuit (malgré ma fortune) afin de faire en sorte qu’au moins un joueur « pauvre » soit encore plus gêné (ouaip c’est pas bien, je sais).
Une belle partie, une de plus, sur un jeu qui ressort pour mon plus grand plaisir.
Un conseil : si vous voyez une boîte d’Amyitis quelque part dans une boutique, et si vous aimez les jeux Ystari sans posséder un exemplaire de la boîte avec une noble Mèdes en illustration, ne réfléchissez pas trop... il y en aura bientôt plus !
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Et c’est une nouvelle fois Amyitis qui fut retenu pour animer notre soirée du mardi soir. Monsieur Edouard ne connaissant pas le jeu et étant pris d’une « flemme explicative » (une maladie qui me frappe de temps à autre), c’est donc monsieur Cormyr qui s’est chargé des explications. Une fois la chose faite, nous voilà donc repartis à Babylone afin de construire les jardins suspendus offerts par un époux aimant à une reine au caractère qu’on devine pas facile. Naturellement, nous avons joué avec l’extension : difficile de s’en passer une fois qu’on l’a essayée.
Que vous dire, sinon qu'à nouveau, les scores furent relativement serrés jusqu’aux 20 points, puis monsieur Thomas va commencer à prendre une avance qu’il ne perdra plus malgré nos efforts. Je restais accroché à la seconde place et c’est seulement vers la fin que monsieur Cormyr est parvenu a me rattraper, pour mieux me dépasser ensuite. Chose notable (pour moi), j’avais acquis assez rapidement le niveau de banque à 2 points et 2 sous. Je vais en revanche me faire griller sur les niveaux de monument : la troisième carte niveau 1 m’est passée sous le nez à la vitesse du chameau au galop. Les chameaux, parlons-en. N’ayant pas pris de carte chameau, ma vitesse sur les villes restait donc assez limitée. Heureusement, je parvenais à compenser avec ma puissance financière, allant chercher des chameliers « à 2 sous » sans problème quand il le fallait. Mais quand même, je vais pas pouvoir planter à certains moment en raison d’un capacité de progression limitée si bien que je vais pas avoir la fameuse faveur d’Amyitis…oui, même celle à 5 points. Monsieur Cormyr n’en pas eu ce problème et marqua gaillardement 10 points.
L’extension a montré une nouvelle fois tout son intérêt, avec le recrutement gratuit, ou encore l’option « Procession », souvent utilisée par monsieur Thomas. Notons qu’il a acquis un niveau de banque à l’avant dernier tour, comme quoi, pour ceux qui en douteraient encore, on peut gagner sans la banque…et perdre avec aussi.
En ce qui me concerne, j’ai choisi tantôt la première place (fort utile surtout quand les 4 paysans ne sont pas en jeu), une ou deux fois la procession, et même une fois le recrutement gratuit (malgré ma fortune) afin de faire en sorte qu’au moins un joueur « pauvre » soit encore plus gêné (ouaip c’est pas bien, je sais).
Une belle partie, une de plus, sur un jeu qui ressort pour mon plus grand plaisir.
Un conseil : si vous voyez une boîte d’Amyitis quelque part dans une boutique, et si vous aimez les jeux Ystari sans posséder un exemplaire de la boîte avec une noble Mèdes en illustration, ne réfléchissez pas trop... il y en aura bientôt plus !