London

11 nov. 2010 | par Blue

Spécifications de la partie


Nombre de joueurs
3
Date
11 nov. 2010

Spécifications du jeu


Nombre de joueurs
2 à 4 joueurs
Âge
à partir de 12 ans
Durée
90 minutes
Mécanismes
Gestion de main, Pioche
Thèmes
Ville, Colonisation
Date de sortie
1 janv. 2010
Auteur(s)
Martin Wallace
Illustrateur(s)
Peter Dennis, Mike Atkinson, Simon Jannerland
Editeur(s)
Treefrog Games

Scores

# Nom Score
1 Blue 70
2 charles 37
3 Kobal -40
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Il y a 1 commentaire

Blue
By Blue | 11 nov. 2010 à 00:00

Enfin une première partie de ce jeu que j'attends depuis quelque temps.

En effet, Wallace qui se met à faire un jeu de carte un peu comme Race for The Galaxy, j'ai envie de me jeter dessus.

Premier constat, le jeu est bien plus aléatoire et léger que ce que nous a habitué Wallace.

En somme, si le thème et le graphisme ne ressemblaient pas à du Wallace, on aurait pue croire à un autre auteur.

Pendant la première partie, j'ai eu l'impression de courir après l'argent. Je voyais mes adversaires avec des revenus de folie, et moi avec des pauvres 7£.

La deuxième partie, je me retrouve à un moment avec 2 hôpitaux, et j'en prend un troisième jeté par un de mes camarades. J'ai un peu plus de jetons pauvreté que les autres, mais j'ai aussi plein de cartes qui permettent d'en virer voir d'en donner aux voisins.

Ca tombe bien, l'hôpital permet d'éviter de retourner une carte en l'activant (mais on retourne l'hôpital, c'est un one shot, mais du bon).

J'en profite pour activer 2 fois mes policiers (des PV et un cube pauvreté chez un voisin), un autre truc qui donnes 2 pauvretés chez un voisin et une prison qui permet de défausser des cartes contre des PV et de la pauvreté en moins (c'est que ça rapporte de mettre les pauvres en prison).

La dernière partie est un peu poussive. Il reste pas mal de cartes à piocher, et plus de quoi investir. On doit finir le jeu en piochant 7-8 cartes une par une. Sauf qu'en activant, je gagne de l'argent et des PV et je ne gagne pas de pauvreté (j'ai beaucoup investi, et je perd la pauvreté que je gagne, en gros). Ce qui fait je construit tout doucement le métro de londres chez moi, et j'attends que mes adversaire ferment la partie, je gagne plus qu'eux à faire trainer. Sauf qu'il m'a fallu leur dire, car pendant deux tours, ils piochaient leurs cartes sur la défausse et non dans le paquet.

Je fini la partie en explosant mes adversaires à la pauvreté. Charles perd 22 points et Kobal 48. D'autant plus que ce dernier s'est choppé des emprunts pour pouvoir jouer (en faisant trainer la partie).

Au final, London me semble être un bon jeu, mais dommage que la fin de partie ne soit pas plus tôt. Du genre, quand il n'y a plus à investir, il reste 3 tours. Ou on retire 3 cartes de chaque tas, histoire qu'on n'ai en plus pas toutes les cartes.