Détrônez-le cet été !

Le roi des nains, le second jeu 100% Made in Iello (le premier étant King Of Tokyo) se précise.

Nous apprenons en effet que ce jeu de Bruno Faidutti, inspiré du classique "jeu de barbu" devrait être en vente cet été, autour du mois d'Aout.

Les premières boîtes finales sont arrivées chez l'éditeur et il faut avouer que les photos misent en ligne donnent réellement envie.

On retrouve aisément la patte de l'illustrateur, qui a déjà officié sur d'autres jeux de cartes ayant marqué les mémoires (Le Grand Dalmuti et Elixir, notamment) et on s'aperçoit que le jeu validera une nouvelle gamme de l'éditeur, puisqu'il reprend le principe d'ouverture initié par Biblios, devenant par ce fait le numéro 2 d'une série qu'on espère conséquente, tant la chose est esthétique.

Et pour les moins patients, ne reste plus qu'à faire un tour sur le fiche du jeu, pour y voir les illustrations du jeu et certains des croquis qu'on peut retrouver sur le site de Christophe Swal.

Notre calendrier des sorties ludiques...

Avis de la rédaction

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Le Roi des nains n’est qu’un jeu du barbu à thème ou le joueur est très tributaire de sa main. En effet, il est parfois difficile de bien jouer avec une main inadaptée pour le contrat choisi et rien dans ce cas ne semble pouvoir empêcher l’inévitable. Cet état de fait est très frustrant. Ce jeu rebutera à coup sûr les plus stratèges d’entre nous qui lui préfèreront la belote coinchée (belote avec enchère et contrat) ou autre jeu dans le genre plus maîtrisable. Il n’en reste pas moins un jeu sympathique qui dégage une réelle ambiance avec des coups vicieux pour refiler au voisin ses mauvaises cartes tout en essayant de remporter les bonnes et c’est certainement le but recherché par Bruno Faidutti. Alors avant de l’acheter, assurez-vous que vous êtes dans la bonne catégorie de joueur auquel s’adresse le jeu, ou qu’en toute connaissance de cause, vous savez à quoi vous attendre. Personnellement, je lui préfère la belote, le tarot ou encore un gang of Four ou Njet moins jolis mais tellement plus contrôlables.
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